01-09
Flint Production
La newsletter fait-elle son grand retour ?
La newsletter fait-elle son grand retour ? Ou pas ? Quelques chiffres clés, témoignages et démystifications sur le sujet.
👴🏼 « Old is the new young » (pardon pour l’anglicisme, traduisez par : « les vieilles recettes ont la vie dure »): longtemps considérée comme ringarde face aux réseaux sociaux, messageries et autres chatbots à la mode, la newsletter “a le vent en poupe”, lit-on un peu partout.
📊 En fait, les chiffres nous disent surtout qu’elle fait de la résistance: la lecture d’infos via newsletters n’a pas augmenté ces 10 dernières années, selon Reuters, mais elle n’a pas vraiment baissé.
📊 Selon une étude “Email Marketing Attitude” menée en 2017, huit internautes sur dix étaient abonnés à au moins une newsletter et 76 % des abonnés affirmaient avoir déjà acheté un produit ou un service en ligne en cliquant sur le lien présent dans l’e-mail.
🇺🇸 Aux Etats-Unis, 22% l’utilisent comme source d’info. 🇫🇷 16% en France.
Pour Florian Lucas (Brainsonic) “on n’a jamais trouvé mieux pour communiquer de façon directe, simple et non intrusive avec ses clients. Bref, à l’heure du consentement et des algorithmes, la newsletter n’a jamais semblé si utile”.
🚀 Du coup, de plus en plus de créateurs de contenus investissent dans la création de newsletters. Les médias, en premier lieu, parce qu’ils ont constaté, chiffres à l’appui, qu’elle généraient plus de lien que les autres formats et surtout leur permettait de générer des revenus pour leurs offres d’abonnement.
📰 Le New-York Times a remarqué que les abonnés à une des newsletters du journal consomment deux fois plus de contenus sur son site et sont deux fois plus susceptibles de devenir des abonnés payants.
🦄 Signal fort du marché : le succès de Substack (1 million d’abonnés payants après 5 ans d’existence), qui permet à des créateurs de contenus de monétiser leur travail éditorial via des newsletters. Twitter, Facebook, LinkedIN et Google ont aussi lancé leur propre service de newsletters.
👓 Dans cette même veine, on observe aussi le succès des newsletters de “curation” (c’est à dire de sélection des meilleurs contenus sur Internet). Pourquoi ? Parce qu’elles permettent à des experts qui n’ont pas beaucoup de temps de partager leur veille d’info avec quelques commentaires et de faire valoir leur expertise sans se lancer dans un laborieux travail de rédaction. Elles permettent d’engager le dialogue, de partager ce qui s’est écrit de mieux et de vous concentrer sur l’analyse, et d’y rajouter des liens vers vos propres articles.
🤖 Morale de l’histoire (hophop, autopromo ! 😁): c’est comme ça que Flint a eu l’idée de créer son nouveau service de newsletter intelligente. Il permet de recruter des robots personnalisés pour configurer sa newsletter en moins de 5 minutes. Tout ce temps gagné grâce à l’intelligence artificielle (sur la curation de contenus et leur mise en scène) permet aux experts de se concentrer sur leur valeur ajoutée, et lancer enfin cette newsletter face à laquelle ils procrastinaient !
🎁 D’ailleurs, cadeau : pour tester gratuitement la version beta c’est ici.