En bref :
1️⃣ À l’ère du numérique et de la fragilité financière de la presse, le journalisme collaboratif permet d’allier les forces, de faire des enquêtes de plus grandes envergures, mais aussi de soutenir des journalistes solitaires et/ou des projets demandant de long temps d’investigation. Le but poursuivi est de servir l’intérêt général.
2️⃣ Le journalisme collaboratif peut aussi bien prendre un tour local (en Bretagne, par exemple, avec Splann !) que national ou international. Il est parfois explicitement mêlé d’une dimension de protection de la liberté d’informer, comme dans le cas de Forbidden Stories.
3️⃣ Une partie des projets de long terme de journalisme collaboratif se financent par des dons afin de protéger leur indépendance dans les choix et les publications de leurs travaux.