Il y a quelques semaines, le troisième rapport du GIEC est sorti. Au-delà de ses conclusions guère optimistes, comment peut-on réussir à s’informer sur les enjeux du réchauffement climatique ? En comprendre la complexité et parvenir à dégager des solutions concrètes, tout en gardant l’esprit au clair ?

💡 Entre bases théoriques, pièges à éviter et sources à suivre, voici quelques pistes et outils à emporter pour s’informer de manière efficace sur ce sujet complexe.

🧠 L’économie d’énergie. C’est ce que recherche constamment ton cerveau. Réduire ses efforts de raisonnement le conduit dans des biais cognitifs, qui affectent ton traitement de l’information. Il en est un qui symbolise cette économie d’énergie : le biais de disponibilité. Et tu vas voir, ce biais intervient à de nombreuses reprises, sans vraiment que tu t’en aperçoives.

📸 Elles sont aujourd’hui partout. Les images font désormais partie intégrante de notre information, notamment avec l’apparition du web et des réseaux sociaux.

💡 Ce matin, on te propose 5 pistes pour réfléchir à l’impact des images sur notre information.

👎 Tu as l’impression que les informations négatives prennent beaucoup plus de poids dans ta réflexion que celles positives ?

🧠 C’est encore une fois une perception de ton cerveau, qui t’emmène dans ses pièges. Ce matin, je t’explique les mécanismes du biais de négativité, et ses origines surprenantes !

Tous les jeudi, on vous fait découvrir un article de The Conversation, qui nous a attiré le cerveau.
🧠 Ce matin, Laurent Petit, professeur en sciences de l’information et de la communication à la Sorbonne Université, sensibilise à la nécessité d’introduire dès le plus jeune âge, l’art du questionnement. Un doute constructif, qui permette de suspendre son jugement face à une information, de se poser les bonnes questions et d’obtenir des preuves plausibles de manière méthodologique.

🗳️ À quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, je suis allé poser trois questions à Valérie Charolles, chercheure associée au laboratoire d’anthropologie politique, qui dépend du CNRS et de l’EHESS, et qui adore parler des chiffres et de leurs impacts.

💡 Comment lit-on correctement un sondage ? Quels réflexes faut-il avoir face aux graphiques que l’on voit partout dans les médias ? Comment les sondages influent-ils sur les électeurs et les politiques ?

Pandémie, guerre en Ukraine, élection présidentielle… La période est propice à la multiplication et à la circulation de fausses informations. Que ce soit des faits détournés, transformés, exagérés ou tout simplement inventés, nous y sommes constamment exposés, sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, Whatsapp et même LinkedIn. Journalistes, chercheurs et citoyens multiplient les initiatives et le développement d’outils pour limiter leur diffusion.

💡Avec ce petit guide exhaustif rassemblant des conseils d’experts du domaine, les outils qu’ils utilisent et des sources à suivre, on va voir comment prendre du recul face à l’information et surtout comment effectuer le travail de vérification des faits soi-même.

💡 Parfois, ton cerveau croit tellement en quelque chose qu’il le considère comme vrai. Et cela malgré l’absence de faits pour le prouver : c’est le biais de croyance.

Il intervient dans plusieurs domaines comme les pseudosciences, le complotisme, l’ufologie ou le paranormal. Je t’explique en détail comme ton cerveau peut privilégier la crédibilité d’une conclusion à une vraie logique de raisonnement.

🪶 Ce matin, on laisse la plume à l’Observatoire du Positif, un compte Twitter fondé par le politologue Eddy Fougier, qui recense et partage toute l’actualité positive. Dans cet article, il livre quelques conseils pour s’informer de manière efficace en des temps troublés, sans mettre en danger sa santé mentale.

💣 Florian Dauphin, sociologue et maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Picardie Jules Verne (UPJV), interroge sur l’utilisation généralisée du terme « complotisme » et son impact sur la qualité du débat public. Accuser quelqu’un de complotiste le stigmatise d’entrée de jeu, disqualifie son opinion et biaise ainsi le débat public, qui ne laisse plus de place à la nuance.